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valet du Couple

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valet du Couple

Mission Tropicale

 

Madame Beatrice m’a téléphoné au début décembre pour me proposer une mission. Elle débutait une relation avec un homme d’affaire franco indien de Pondichéry qui l’invitait à passer un mois chez lui. Sans attendre ma réponse, elle avait mis comme condition d’être accompagné de son « serviteur personnel ». Monsieur acceptait ma présence et prenait en charge tous les frais de mon séjour. J’ai bien sûr accepté. Il a fallu obtenir un visa très vite et m'organiser pour être libre

Nous avons séjourné dans une villa du quartier français « White Town ». Monsieur m’a considéré comme son hôte. Le service étant assuré par des gens à lui. J’étais surtout là pour rassurer Madame, l’accompagner dans la ville, découvrir avec elle l’incroyable intensité de la vie indienne. Je devais être là sans gêner, laisser le couple au bon moment et apparaitre quand il faut.

Durant ce séjour, Madame s’habillait à L’indienne, je portai aussi des vêtements de lin blanc.  Mon « secret » n’a pas pu être conservé longtemps. La dame en charge de la maison, une femme indienne de la quarantaine m’a surpris à la sortie du bain juste vêtu de ma petite cage de chasteté en plastique… Elle et ses aides avaient de toute évidence compris mon rôle subalterne après de la dame que j'accompagnais.

Maitresse Beatrice avait bien sûr mis au courant Monsieur Ranjit de cette disposition qui garantissait la moralité de ma relation avec Madame.

 

Alcina

 
Je suis admirateur d'Alcina. Ses images sensuelles me font rever depuis plus d'une année. Je passe souvent sur ses blogs, parfois en silence, d'autres fois en laissant un commentaire pour témoigner ma satisfaction et saluer son art de la mise en scéne. Alcina a répondu à quelque unes de mes questions. Je vous laisse decouvrir ses réponses:

Sans chercher à vous flatter, (même si c'est dans ma nature) vos articles reflètent un vrai tempérament artistique, ludique. On dirait que l'art peut prendre le dessus sur le désir de vous montrer?


Il semble que vous soyez très perspicace en ce qui concerne mon attirance pour l'art , peinture , architecture, musique ou simplement un paysage . L'envie de créer un blog est surtout venu pour me diversifier de ce que je voyais en charme photo  souvent hâtive dans la salle de bains ou bord d'un lit . Celà ne m'intéresse pas ... de dupliquer , d'ailleurs je note des idées ou viennent une histoire à partir d'une paire d'escarpins .
Mon imagination est souvent vagabonde... je suis rêveuse ...N'ayant pas la possibilité de " recruter " des modèles pour mes photos , je joue le " mannequin" de subtitution en m'amusant avec les dentelles et accessoires divers

Madame, j'ai l'impression qu'on ne doit pas s’ennuyer avec vous. Comment vos proches, vas amis de la "vraie vie" vous voient-ils?

Autour de moi ,on ne connaît pas l'existence d'Alcina , seulement celle qui "chasse" les images classiques de mon environnement , c'est le coté secret de mon personnage

Qui vous prend en photo? Avez-vous d'autres envies pour les photos. Poser avec quelqu'un, tourner des vidéos, de nouveaux désirs, une suite sur le nouveau blog?

Je n'ai pas de photographe ,  réalise mes clichés seule . J'ai été contactée pour partager un blog avec un couple , mais j'ai décliné l'offre ,n'ayant aucun point commun avec ce dernier .Bien sur j'ai des propositions " spontanées" de volontaires qui rêvent d'être derrière l'objectif (offre desintéressée sic !) Récemment j'ai rencontré  par hasard un photographe professionnel lui très technique , moi plus image ,celà a donné un essai de jeu de lumière dans son studio ( à finaliser encore , mais encourageant). Je ne dispose pas de matériel très élaboré , ni de place , alors j'improvise. Je n'avais  pas l'intention d'abandonner le blog Over , mais les changements survenus pour poster les photos sont compliqués , c'est avec regret ,que j'ai emmigré sur eklablog (sans musique hélas ) L'idée est de continuer dans la même" veine", même si celà devient récurrent.

Vos images, même burlesques, dégagent de la sensualité, de l'érotisme. Votre ou vos  partenaires amoureux apprécient-ils de vous voir vous mettre en scène sur le web et recevoir des compliments enflammés de centaines d'internautes?

Des "amis" virtuels m'ont envoyé du courrier , demandé des rdv , ou proposé des cadeaux etc ... sauf que mon blog n'est pas une demande de rencontres mes images sont softs , jamais dénudées ,sans vulgarité. Je veux rester comme vous le soulignez dans le charme et la sensualité .

Vous savez peut être, en lisant les articles de mon blog, que j'ai vécu longtemps comme serviteur personnel d'une séductrice, une femme fatale. Quel regard portez-vous sur cette forme de relation, sur la soumission masculine et le fétichisme?

Question à laquelle je ne peux répondre , imaginant difficilement l'abnégation du rôle de partenaire dans un couple ,en voyant évoluer à chaque instant devant les yeux ,celle qui le torture en jouant au "yo-yo" .C'est un peu
comme les groopies d'acteur qui ne peuvent jamais atteindre leur idole : Une frustration consentie .
 
Découvrez les deux blogs d’Alcina, cette présence mystérieuse et pourtant si proche, presque palpable…

alcina.over-blog
alcina.eklablog

 

Le choix de Sandalin

 

Madame a déambulé nue une partie de la journée entre la piscine et son bureau. Elle décide sur le tard de s'habiller pour son rendez-vous

Elle laisse Sandalin choisir. Son valet opte avec son accord pour un ensemble string brésilien en dentelle blanche glamour et un joli soutien-gorge assez confortable, mais elle renonce au soutien-gorge.

Madame porte des escarpins vernis noirs à hauts talons et une robe blanche légère et estivale. Les chaussures ne sont pas vraiment de saison, mais le contraste est plutôt réussi.

Madame s’assoit sur la terrasse et déguste un verre de bon vin en rédigeant quelques SMS.

Elle entend une voiture qui se gare devant la maison. Sandalin part ouvrir a ce visiteur que Madame attend avec une impatience habilement dissimulée.

 

Valet du Couple, le début

Je relate  un de mes premiers moments en « valet du couple »: Mon ex compagne, au terme de notre relation a souhaité que je devienne  son domestique, une sorte d’eunuque passif et loyal au service de sa vie amoureuse et son confort. Elle su me convaincre, malgré tout le désir (ou à cause) que jéprouvais pour elle
 
Trois semaines s’étaient écoulées depuis nos adieux à l’aéroport de Paris. Mademoiselle portait un jean serré et un haut noir à fines bretelles. A ses pieds, j’ai remarqué des nouvelles chaussures. Le talon de ces escarpins vernis noirs m’a paru vraiment haut pour des chaussures de ville. Rodrigue n’étant pas amateur de ces subtilités, j’ai pensé que l’intention m’était dédiée.
 
Quelques jours avant leur retour, mon état s’était mystérieusement équilibré.
Un calme inattendu m’avait permis d’envisager la suite avec une relative sérénité, malgré cette exaspérante captivité. J’avais tenu plusieurs semaines dans cette petite cage de chasteté, pourrais-je tenir tout le temps, comme le suggérait mademoiselle?
Investi d’une nouvelle énergie, j’avais réorganisé l’appartement en prévision du séjour de son amant. Il m’avait semblé indispensable de soigner certains détails pour leur arrivée, comme un déposer un beau bouquet de fleurs sur la commode ou investir dans une nouvelle housse de couette pour le lit du couple. Mon accueil devait être chaleureux mais assez discret pour ne pas les embarrasser. Après ces trois semaines de séparation, ma présence pouvait facilement leur sembler saugrenue. Il fallait qu’ils réalisent mes intentions. Je voulais me rendre indispensable, utile à leur bonheur et ne pas être évincé. Malgré mes bonnes dispositions, j’ai quand même rechigné en goutant de nouveau à l’inconfort du canapé du salon.
 
Mademoiselle jubilait.
― Comme c’est agréable d’arriver chez soi et se faire servir par un gentil domestique zélé et poli.
Malgré la fatigue du voyage, elle était ressortie de la chambre vêtue d’une minirobe noire assez classique mais chaussée de ses hauts escarpins vernis.
― Comment me trouves-tu, Sandalin ?
― Magnifique… Comme toujours. Les chaussures Vous donnent beaucoup d’allure, Beatrice.
― Rodrigue commence à s’intéresser à ces détails, vois-tu ? Mais il n’a pas les moyens.
― Je tiens à rester le principal fournisseur des frivolités de Mademoiselle.
― Je n’en doute pas… Je suis très heureuse de l’accueil que tu nous réserves. Tu m’impressionnes ! Pour tout te dire, je craignais de te trouver dans un état pitoyable… Ça te plairait de me voir porter des bas de soie ? Enfile les-moi, demain nous ferons mon vernis et nous verrons pour…
Beatrice a secoué la petite clé accrochée à son collier. Elle s’est assise sur une chaise de la cuisine. J’ai retiré ses hauts talons pour lui passer les bas à couture.
― En fait, Rodrigue ne va plus au Mexique… Il reste à Paris.
― Ah…Rien de grave ?
― Non…Tu penses qu’il peut habiter chez nous ?
― C’est bien ce qui est prévu ?
― Oui, mais nous avons décidé de…Vivre ensemble.
Mon estomac a failli imploser. Etourdi par la nouvelle, j’ai baissé les yeux sans parler.
― Qu’en penses-tu, alors? Répond ! 
― Je ne sais pas…
― Tu serais d’accord ? Sinon, nous serons obligés d’habiter ailleurs.
― J’ignore si vous le sentez, mais j’ai vraiment fait du chemin… Je renonce définitivement à être l’amant de Mademoiselle Je n’aurais jamais cru, mais cette place de serviteur me convient, désormais.
― Tu vois? Je t’ai dit ma façon de penser, sans chercher à te ménager. J’ai préféré être claire avec toi… Je n’en reviens pas ! Et tu me vouvoies maintenant ? Ca me fait bizarre… Mais c’est mieux. Alors, tu es d’accord pour que Rodrigue s’installe ici ?
Quand elle a écarté les cuisses pour me laisser ajuster ses bas, j’ai aperçu les lèvres de son sexe. Légèrement écartées, elles semblaient me sourire.
― Ce n’est pas un peu…Précoce comme décision ?
― Ah ! Je te reconnais bien ! On dira que Rodrigue est un ami qu’on héberge…D’accord ?
― Comme Mademoiselle voudra…
― Je suis contente, Sandalin, tu ne peux pas savoir ! Je suis tellement amoureuse… et… et voir que tout se goupille si bien, me rend folle de joie ! J’espère juste que tu vas tenir le choc ?
Quand Rodrigue est sorti de la douche, Beatrice lui a fait connaître mes dociles intentions.
― Merci, Sandalin. Puisque tu m’acceptes ici, je propose d’arroser mon installation dans cet appartement. J’ai rapporté du vin de Malaga, mettons-le au frais, d’abord !
Rodrigue m’a tendu la bouteille.
― Monsieur est ici chez lui.
Le couple s’est embrassé tendrement et je suis parti préparer le repas.

Après le diner, Beatrice a manifesté le désir d’aller se coucher. Rodrigue souhaitait passer un moment sur son ordinateur, avant de la rejoindre.
― Accompagne-moi, Sandalin.
Elle a fermé la porte de la chambre.
― Retire mes shoes… Elles sont jolies, mais qu’est-ce qu’elles me blessent les pieds… Masse-moi un peu les orteils.
Délicatement, j’ai retiré les bas de Mademoiselle. Une terrible excitation a commencé à m’agiter, mais je suis resté impassible.
― La porte de la chambre sera entrebâillée ce soir… et tous les autres soirs. Tu pourras nous regarder. Il est même important que tu puisses assister à notre bonheur, puisque tu en es un des piliers ?
― Merci Mademoiselle … Pour le reste des privilèges?
― Rien ne change. Tes efforts de chasteté seront récompensés.
Le pied nu de Beatrice est monté jusqu’à ma bouche, j’ai déposé un baiser en fermant les yeux. Puis ma langue s’est égarée avec passion, pendant de longues minutes, sous la plante de ses divins pieds. Rodrigue est entré, il m’a souri. Je l’ai vu se dénuder, avant de s’allonger sur le lit.
Après leur avoir souhaité une bonne nuit, je les ai laissé tous les deux, sans oublier de prendre les chaussures de Mademoiselle.
 
Sous la lumière dorée de ma lampe de bureau, les escarpins vernis brillaient de leur sublime autorité. Avant de faire quelques photos, je les ai dévotement léchés, du talon jusqu’à la pointe, en inhalant la semelle déjà imprégnée des senteurs de Beatrice..
 
Leurs premiers soupirs se sont assez vite manifestés. J’ai résisté.. Pourtant, quand les cris sont devenus plus rauques, je suis allé voir.
Beatrice s‘était mise à répéter en boucle : « C’est bon…Comme c’est bon, par derrière.»
En témoin silencieux, j’ai vu le sexe de Rodrigue circuler librement entre les fesses offertes de Mademoiselle. Sa belle chatte rousse n’était pas délaissée pour autant. Il passait librement d’un orifice à l’autre suivant son inspiration… Il a poussé un long râle avant d’offrir sa sève aux parties intimes son amante.
J’ai attendu qu’ils s’endorment pour me glisser aussi dans mon lit, ivre d’excitation, sans autre perspective qu’un lancinant désir sans échappatoire.

 

L'été dernier (2)

 

Bronzer,  se mettre les pieds sous la table, sortir, danser, se livrer aux joies du sexe à toute heure du jour ou de la nuit… Tel fut le programme de ces vacances, enfin pour Madame Tellier et Monsieur qui, pour s’éviter les contraintes domestiques, m’invitèrent à les suivre dans le sud.

 

Silvia, une amie de Madame, était elle aussi du voyage. Blonde, sensuelle, la peau fine et mate, Silvia portait en elle un étonnant mélange d’audace et de timidité, un peu comme moi, finalement.

 

Midi, au bord de la piscine de la villa landaise. J’admirais en silence les corps dénudés des dames. La baignade et le bronzage procurent cette unique et sublime opportunité… Ces Dames offraient au soleil des trésors secrètement révérés, inaccessibles au domestique. Monsieur, lui aussi dans le plus simple appareil, se prélassait après une matinée de bateau. Il exprimait de tout son corps son état de Maitre des lieux… Son magnétisme mâle attirait à lui les regards admiratifs de son épouse et ceux de la jeune Silvia.

Je sortis les tomates mozzarella de la glacière. Les Dames et Monsieur approuvèrent cette rafraichissante surprise. Madame posa son pied sur la cuisse musclée de son mari. Elle bougea doucement ses orteils.

— Le fétichisme des pieds est la grande passion de Sandalin. Une passion à la hauteur de vos aspirations, mon ami ?

Je baissai les yeux vers le pied nus aux orteils insolents et rieurs.

— Tout à fait Madame.

— Vous aimeriez peut-être les lécher ?

Mlle  Silvia émit un petit gloussement. Monsieur se contenta de sourire en plissant les yeux comme un chat.

— Oui… je l’avoue Madame.

Madame gouta les tomates

— Hum…Du basilic frais, j’adore. Au Portugal, le basilic est considéré comme un aphrodisiaque puissant en raison de son parfum envoûtant

Monsieur lécha sa fourchette

— Nous n’avons pas besoin de cela, chérie…

Madame regarda Mlle Silvia

—Silvia et moi avons des projets te concernant qui risque de réclamer toute ton énergie… Et en dessert, que nous réservez-vous Sandalin ?

— Heu… je… Du melon, Madame.

— C’est parfait, admirez donc nos pieds, alors puisque vous avez bien travaillé !

Le pied de Mlle Silvia rejoignit celui de Madame. Elle chatouilla la plante de pied de sa complice qui sursauta en riant. Je ravalai ma salive, le cerveau en ébullition.

 

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